♠ Journal de Dark Knight ♠

Petit tour chez les Hommes

N'en faites pas tout un plat, c'était juste pour rigoler

  « Je suis vraiment obligé de faire ça ? Non mais sérieusement, moi, le grand Dark Knight, Alpha Wind, je suis pas censé faire ce que je veux ? Quoi ? C’est pour laisser une trace de mon incroyable vie ? Mouais, pourquoi pas. Au moins, on ne déformera pas ma vie. Bon d’accord, mais sachez, que ça ne me plaît pas du tout.

Ce jour là, je m’embêtais un peu, tout était calme sur Loup Sauvage. Alors je suis allé un peu… Disons que je me suis défoulé. Il faut bien de temps en temps extérioriser toute cette énergie. Quel meilleur endroit que d’aller se défouler ? Ah non, me dites pas les Fires, bande de petits vicieux. Non, les Fires c’est drôle, mais nous avons tous un ennemi commun sur Loup Sauvage. Les Hommes. Bref, je suis donc allé chasser du côté de leur village. Chasser, n’est pas le bon mot. Je n’étais pas parti dans l’idée de tuer une proie pour la manger. Pour tout vous dire, je n’ai jamais goûté la viande humaine et ce n’est pas vraiment le genre de proie que je souhaite goûter. Ils sont si malsains avec leurs outils.

Je me suis donc d’abord introduit par l’enclos. Ils ont beau avoir de fabuleux outils, ils n’en demeurent pas moins bête. Tout loup sait qu’il doit toujours vérifier ses frontières. Les bipèdes eux, construisent leurs frontières par des grillages, mais ne les vérifient pas. Du coup, quel ne fut pas mon bonheur que je suis parvenu à trouver un trou, sans doute causé par des renards.

Une fois pénétré à l’intérieur de l’enclos, j’avais un large choix de cible. C’est parfois utile de venir pour chasser. Toutes ces bêtes dans un endroit restreint sans possibilité de fuite. Mais je n’étais pas là pour chasser comme je le disais plus tôt. Juste semer la pagaille et tuer. Alors, je me suis approché de ces grands animaux sur lesquels les Hommes aiment monter pour avancer plus vite. Devoir monter sur d’autres animaux pour gagner en rapidité, ça prouve à quel point se sont des êtres faibles. Étrange qu’ils ne soient pas éteints. Et bien dommage. Je suppose que leur salut n’est dû qu’à leurs inventions comme leurs armes capables de tuer en un seul coup un loup.

Donc, comme je le disais, je me suis approché d’un grand étalon, relativement jeune tout de même, et je lui ai sauté à la gorge. Ca a été facile, mais je devais resté méfiant, les chevaux sont des êtres imprévisibles et très dangereux. Quand j’étais plus petit, j’ai vu un loup se prendre un coup de sabot… Il en est mort. Je ne suis pas du genre à avoir peur de quoi que ce soit, mais je ne suis pas suicidaire, je connais mes limites. Les coups de sabots constituent une limite.

Le jeune étalon s’était écroulé, j’avais bien visé. Sans vouloir me vanter, je vise plutôt bien et je rate rarement ma cible. Le cheval a souffert quelques instants, le sang s’écoulait de sa plaie, ses yeux se voilaient déjà. La vie le quitterait bientôt. C’est si fascinant cet instant. Regarder la respiration ralentir, les yeux se voiler, et finalement, la vie qui quitte ce corps. La vie est si fragile, un fil fin, sensible aux variable. Un coup de crocs et CLAC ! Plus rien. Brrrr rien que d’y penser j’en ai des frissons.

Le troupeau c’est mit en mouvement affolé. Le départ était lancé, la partie commençait. Menaçant, j’ai tout de suite identifié le dominant, un grand mâle brun. Il cherchait à défendre les siens. Normal. Ses muscles étaient saillant, il ne valait mieux pas que j’aille me frotter à celui-là. Il avait annoncé l’ordre de fuite à son troupeau, mais déjà, j’avais sauté au cou d’une jument. La vie la quitta à son tour. Je n’ai rien contre ses animaux, leur seul tord : collaborer avec les Bipèdes. Tuer des chevaux équivaut à les handicaper.

Les animaux présents dans l’enclos ont sentis le dangers, ils se sont affolés, ont hurlés. Jusque là, rien de bien anormal. Le sang remplissait ma gueule, je me sentais dans mon élément à cet instant. M’élançant après le troupeau, un poulain n’arrivait pas à suivre le rythme du troupeau. La sélection naturelle, très cher, sélection naturelle. Les plus faibles doivent mourir. Ce fut son triste destin. N triste. Je suis sur, que tout gentil qui me lit doit me haïr, mais vous devriez me remercier. Vous apprécieriez vous, que l’on vous renvoie à une condition d’esclave, on vous prive de liberté et on vous monte sur le dos, vous obligeant à suivre telle ou telle direction sans libre arbitre ? Non, je lui ai rendu service à ce petit poulain. Il n’aura jamais à vivre cet enfer. Mieux vaut être mort qu’esclave.

La mère du jeune cheval ne fut pas du même avis que moi visiblement, puisque faisant volte face, elle a tenté de m’assommer de ses gros sabots. Comme je vous l’ai dis, je ne suis pas suicidaire alors j’ai choisi la solution de la retraite, bien moins dangereuse. Alors j’ai couru et j’ai ris. Oui, j’ai ris. Pourquoi ? En fait je ne sais pas. Je ne comprend pas toujours mes réactions pour tout vous dire.

Les lumières se sont allumées dans les maisons, c’était l’un des signaux que j’attendais, les Hommes n’allaient pas tarder à venir armés. Les chiens aboyaient tels de beaux diables. Mais ils ne me font pas peur. Leur condition de chien domestique leur a fait perdre bien des aptitudes, ils sont diminués et ne me font pas peur.

La lenteur des Hommes est aberrante. Alors pour les punir de leur lenteur, je me suis attaqué aux moutons. Des êtres idiots, sans aucune logique, mais au goût délicieux. Je ne cracherais jamais sur un bon mouton. Mon objectif : en tuer un maximum. Pour affaiblir les Hommes, quoi de mieux que de diminuer leurs troupeaux ?

Les chiens furent enfin lâchés, ultime signal. Il était temps de partir. J’avais choisi de venir de nuit afin que les Bipèdes ne puissent pas tirer à vu. J’avais mémorisé l’emplacement du trou dans le grillage pour l’utiliser comme échappatoire. Les chiens eux, aussi bête que des moutons, s’arrêtèrent devant le grillage, ne percevant pas le trou qui m’avait permit de sortir. Rien que d’y penser, je ne peux m’empêcher de rire. C’est fou d’être dénué d’intelligence tout de même.  Mais là n’était que la première partie de mon plan pour vraiment déranger les Hommes.

Trotinnant, je me suis donc dirigé vers le village. QUOI ?! On raconte que j’étais essoufflé ? N’importe quoi. Dénoncez moi ce félon que je lui face ravaler ses sales paroles. Bon d’accord, j’étais essoufflé. Un tout petit peu. Du coup j’en ai profité pour me poser quelques instants. Les chiens étant restés à l’enclos, ils devaient penser que j’avais fuis sur mon territoire. Et ben non !

Après une petite pause, j’ai donc été vadrouiller dans les rues de leur village, vide. Comme quoi, ils n’ont aucune protection. C’est comme si l’on laissait une tanière sans surveillance. Je ne savais pas que certaines espèces pouvaient perdre leur instinct de survie. Visiblement, c’est le cas.
Je connais ces rues, je les ai souvent arpentés avec Dream… Dream, ma sœur. Nous avons tant vécus ensemble. Parfois, elle me manque, mais je ne peux pas me permettre de ressentir de sentiments. C’est une faiblesse. Étrangement, lorsque j’ai tué nos parents et que je l’ai cherchée pour la tuer à son tour, je ne l’ai jamais trouvée et nos chemins ne se sont jamais recroisés. Je sais que vous ne comprenez pas. Je ne chercherais pas à vous convaincre. Mes choix n’engagent que moi, je n’ai pas à me justifier.

Bon ? Donc je voulais faire encore un peu de remue ménage. Plus loin, il y avait un petit enclos de chevaux. Je voulais les faire sortir pour les faire courir partout dans le village. Qu’est ce que ce serait rigolo ! Alors je suis rentrée dans l’enclos et je les ai effrayé. Le classique : grondement, poil hérissé, crocs qui claque pas trop loin de leur peau. Le plan à fonctionné, les équidés ont forcés la barrière. Oh si vous aviez pu voir la pagaille. Oh, ne me regardez pas de ce regard empli de sévérité. Il ne vous arrive jamais de trouver amusant une scène de désordre ?

Le boucan réveilla les Hommes qui dormaient dans les maisons, l’un d’eux n’était pas très loin. Je pris de l’élan et dans un saut magnifique. Bon d’accord, j’exagère, dans un saut, je lui planté mes crocs dans le bras. Son cri était perçant. Rho, un tout petit bobo, j’ai tout juste senti l’os et j'ai relâché ma prise. Quelle bande de chochottes. Il s’écroula à terre en hurlant, et pour le faire, je lui ai planté mes crocs dans la gorge cette fois-ci et il cesse enfin de hurler comme un dégénéré.

Des chiens, déboulèrent des maisons. Même si je suis plus fort qu’eux, je ne pourrais pas survivre à une attaque d’Hommes ET de chiens simultanément. Quelques uns se jetèrent déjà sur moi, et l’amusement laissa place à la colère. Le monstre qui est en moi a surgit. Il ne fut pas difficile d’éliminer mes assaillants. J’avais quelques plaies, mais rien de bien méchant. Quelques chiens, apeurés, retournèrent se cacher dans les maisons. Quel intérêt d’avoir des trouillards pareils ?

J’aperçus au loin une femme tentant de s’orienter. Proie facile. Cette fois, mes crocs trouvèrent sa gorge, elle s’effondra. L’hémoglobine emplissait ma gueule, je ne me contrôlais plus vraiment, laissant mes pulsions me guider, tout en gardant un certain contrôle.

Les lumières se sont allumées, il était temps pour moi de rentrer sur mon territoire, le danger devenait trop grand. Alors j’ai pris mes pattes à mon coup, et je traversa le village à toute vitesse. Le plus difficile fut d’éviter les chevaux affolés. Ce serait bête de mourir sous leurs sabots après tout ça. Mais j’y parvins, après tout, je suis Dark Knight. Maintenant il ne me restait plus qu’à semer les chiens. Les Hommes s’étaient lancés à ma poursuite, je pouvais entendre le bruit de sabots derrière moi et le hurlement de leurs satanés chiens.

Ma course dura un moment, bon je l’avoue, je commençais un peu à fatiguer, mais un cours d’eau passait non loin. Parfait pour leur faire perdre ma trace. Alors j’ai sauté dans l’eau. Pas forcément une bonne chose dans le sens où mon pelage est épais et devient donc plus lourd. Mais c’est un mal pour un bien.

Par une tactique de revirement, et demi-tour, j’ai fini par les semer. Je dois avouer que je suis assez fier de cet épisode, je m’en suis sorti presque sans égratignures. C’est pas génial ça ? »

Code par xLitlle Rainbow

Un élève éphémère

Quand le potentiel que l'on trouve s'envole

  « Peu de temps après mon petit tour chez les Hommes, j’ai rencontré Fallin.

J’étais fatigué par cette excursion. Le premier qui le répète se verra mourir dans d’atroces souffrances. Lui et toute sa famille, ainsi que sa descendance, la descendance de sa descendance, etc, etc.

Bref, j’étais donc allé me reposer à la Clairière de l‘Ombre. Un petit endroit sympa. Mais bon, on est jamais tranquille quand on est Alpha. J’ai vu un loup blanc débarqué. Un jeune loup de ma meute, Fallin. Il avait intégré la meute depuis peu et pour être franc, j’avais un peu négligé son initiation. Bon, bien sûr, on lui avait attribué un mentor, mais j’ai pour habitude d’observer mes loups pour savoir de quoi ils sont capables. Pratique que j’avais très peu exercé ces derniers temps. Une erreur, que je déteste faire. Mais parfois, les obligations de dominant ne nous laissent pas beaucoup de temps.

Le problème avec Fallin était qu’il ne parvenait pas à trouver un mentor qui lui convienne. Ca m’a un peu énervé d’apprendre ça. Je lui avais attribué un mentor. Bon, il est vrai qu’il est facile d’en changer si celui attribuer ne convient pas. Mais savoir qu’un jeune loup n’a pas d’initiation, a tendance à m’énerver. La formation des loups est capitale. L’une des choses les plus importantes. J’y accorde une attention toute particulière.

Alors, je l’ai testé. Un petit test tout simple où il devait m’attaquer. Bien sur, il n’avait aucune chance face à un loup sur-entraîné, mais comme je le dis, c’était un test. Croyez-moi, c’était pas glorieux, il a à peine réussi à me toucher. Mais j’avais perçu quelque chose en lui. Une certaine tactique, une intelligence à exploiter. Comme je ne voulais pas gâcher un potentiel, je lui ai proposé de devenir mon élève. Oui, vous avez bien entendu, mon élève. Et pour le tester, quoi de mieux que de partir directement sur le terrain ? Alors nous sommes allé sur le territoire des Hommes. Oui encore. La meute avait faim, il faut bien la nourrir.

Là encore, il a fait preuve d’une grande intelligence et de tactique. Pas toujours évident lorsque l’on a des pulsions comme les nôtres. Celles de tuer. Bon, il a quand même fait quelque chose d’idiot en attaquant le troupeau mais bon, on n’étant que peu formé, on ne peut pas faire des merveilles.

Finalement, nous avons ramené deux moutons chacun à la Tanière. Une belle prise, et je pense que la viande de mouton est mon repas préféré.
De puis ce jour, Fallin a disparu… Je ne suis pas du genre à faire des battues pour retrouver un loup disparu. J’ai quand même demandé à mes Gardiens de veiller au grain lors de leurs patrouilles mais nous n’avons jamais retrouvé sa trace… Entre nous, j’ai ressenti un petit pincement. Une petite déception... »

Code par xLitlle Rainbow

Début d'alliance ?

Les ennemis de mon ennemi sont mes amis

  « Cette anecdote est particulièrement sympathique. Je suis sur que ça va vous intéresser.

Ce jour là, je m’étais introduis sur le territoire des Flyings. Je ne vais pas te mentir, j’espérais voler du saumon dans leur Rivière au Saumon. Ca ne vous est jamais arrivé d’avoir envie de goûter quelque chose que tout le monde semble avoir mangé une fois dans sa vie et pas vous ? Imaginez en plus d’être Alpha. C’est profondément frustrant. Oh et puis un saumon de plus ou de moins, ça n’impactera pas les Flyings.

Mais ce ne devait pas être mon jour de chance… Non, en fait c’est tout le contraire. Devinez sur qui je suis tombé… Peeta. Oui oui, vous avez bien vu, Peeta, qui n’est autre que l’Alpha Flying. J’ai un petit menti sur la raison de ma présence, j’ai dis que je venais seulement pour les voir, et à l’occasion, demander la permission à un Flying de passage pour en prendre un. Je ne suis pas sûr qu’il ait cru en mon mensonge, il est loin d’être idiot.

Au terme de cette rencontre, nous avons conclu un accord consistant à un échange de proies. Un loup extérieur pourrait trouver ça farfelu, mais il faut bien que les alliances commencent quelque part… Les Flyings sont eux aussi en conflits avec les Fires. Nous avons un ennemi commun.

Nous en avons profité pour se faire des confidences. Nous nous sommes mutuellement posés des questions auxquels nous devions répondre sincèrement. Drôle de jeu, mais ça permet de nouer des liens. Je me suis aussi rendu compte que nous avions des points communs, plus que je ne l’imaginais.

Vous allez rire, mais il m’a permit de prendre un saumon avant de partir. C’est vrai que c’est bien bon. Peut-être mon repas préféré après le mouton. Une chaire tendre et fine. Oui, ça vaut vraiment le coup.

Je suis donc ensuite reparti, relativement satisfait. Je pense vraiment que nous pourrions être de bons associés et lorsque j’aurais le contrôle de Loup Sauvage… Je suis partageur et je sais récompenser mes alliés comme il se doit... »

Code par xLitlle Rainbow

Un nouveau fidèle

Un loup blessé est un loup dangereux

  « Ce n’est pas vraiment un élément important. Quoique, si tu es un jeune Wind qui souhaite me ressembler, ce récit peut être tout particulièrement intéressant pour toi. Surtout lorsque l’on est Wind, il faut savoir s’entourer de fidèles. C’est la toute première règle pour survivre et surtout pour être Alpha. Si tu es populaire, la meute t’obéiras, si tu ne l’es plus…

Bon, donc ce jour là, j’étais parti faire un tour sur le territoire. N’ayant toujours pas fixé mon choix sur un sous-dominant, j’avais dû régler une petite querelle au sein de la meute. C’est vraiment barbant comme tâche. On dirait parfois des louveteaux. J’aimerais tellement que ce soit des tueurs intelligents. Mais bon, je suppose que l’on ne peut pas tout avoir dans la vie. Sauf moi. J’ai tout ce que je veux. Peut-on vouloir autre chose que d’être l’Alpha le plus craint et le plus fort de tout une île ? Un jour, je dominerais cette île. Donc non, je n’ai besoin de rien de plus.

Mais je m’égare. Donc j’étais parti me balader, et une odeur de Fire flottait dans l’air. Je vous laisse imaginer ma colère. Ces sales chiens avaient franchis la frontière pour venir sur MON territoire ! Et plus je m’approchais, plus une odeur de lapin accompagnait son odeur répugnante.
Finalement, l’intrus était à La Forêt du Sapin d’Argent. Mais il semblait blessé. Alors j’ai pris le temps de lui demander ce qu’il osait faire chez moi. En plus, même s’il avait l’odeur des Fires, elle n’était assez imprégnée dans son pelage pour qu’il fasse parti de la meute. Je pensais déjà à ce moment qu’il était un Solitaire ayant vécu un moment sur le territoire des Fires. C’est là, qu’Ykelur m’a appris que ses parents avaient été tués par les Fires. Si tu n’es pas un Wind très cher lecteur alors tu ne vois pas ma sombre machination arriver. Que vous ais-je dis pour Peeta ? L’ennemi de mon ennemi est mon ami. Faites en une devise, vous verrez, ça marche très bien. Au terme d’une petite discussion, il a accepté d’intégré les Winds et je lui ai promis une vengeance. Encore une fois, un ennemi commun réuni deux loups qui n’ont pas forcément les mêmes aspirations.
Ça n’a pas été compliqué de le manipuler, le décès de ses parents et son jeune âge m’ont permit de le convaincre et j’espérais déjà à ce moment pouvoir le changer assez pour qu’il ressemble aux miens. Pour qu’il devienne un vrai Wind. Je savais que si je l’aidais à venger ses parents alors il me serait fidèle.

Et j’ai gagné. Je gagne toujours... »

Code par xLitlle Rainbow